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Août 11

Dans la rue…

Posted on jeudi, août 11, 2011 in Photo








Mai 6

Note pour plus tard…

Posted on vendredi, mai 6, 2011 in Notes pour plus tard...

Note pour plus tard (s’il est de nouveau question de « captation vite fait avec le frangin.. ») :

– prendre une grosse clé USB pour récupérer le son sur la console si les gonz’ ont oublié ce petit détail

– bien récupérer toutes les cassettes directement à la fin du concert, ne pas les laisser au chaud dans le chargeur des caméras avant de confier le tout au bon soin de la bande qui risquerait de les perdre, ou de les remplacer par de mystérieuses cassettes tout en cachant les bonnes (tellement bien que tu n’en retrouves qu’une sur les deux au bout d’un an et demi et déjà tu es content..).

Il faut voir le bon côté des (petites) choses, j’ai (re)découvert une poche secrète de mon sac..

Les petites choses aux trois Baudets from Bada Luna on Vimeo.

La vidéo a été compressée deux fois, ne pas la regarder de trop près. Les pixels risqueraient de vous piquer les yeux.

Fév 15

Lundi matin, chasse aux chats à Montpar’

Posted on mardi, février 15, 2011 in Photo

Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats
(–> un peu plus tard et plus au nord, un autre félin, un peu chanar’ –>)
Chasse aux chats
Chasse aux chats
Chasse aux chats

Nov 26

Posted on vendredi, novembre 26, 2010 in Photo


1934 – Boris Lipnitzky et Roger Viollet

Août 28

Le festival de la chouille

Posted on samedi, août 28, 2010 in Festivals, Formations, Photo

Du nouveau cette année à Lussas. Devant la légère baisse de la fréquentation, Jean-Marie Barbe a annoncé aux journalistes un partenariat pour le moins inattendu. L’association Ardèche Images devrait prochainement signer un accord avec une organisation pourtant plus touchée – toutes proportions gardées – par la désaffection des foules : l’Église catholique.

Barbe et les journaleux

C’est dans l’optique de ce rapprochement qu’un séminaire concernant les Écritures numériques était organisé. Clarisse Herrenschmidt a évoqué la convergence annoncée des textes des principales religions monothéistes (Torah, Bible et Coran) au fur et à mesure de leur encodage, grâce aux bugs notamment. Alexandre Brachet nous a ensuite montré les premières images de la Bible interactive qui permettra bientôt de revivre les plus grands moments de l’Ancien et du Nouveau Testament. L’idée étant de se mettre à la place des personnage principaux. Multipliez les pains, marchez sur l’eau ou réveillez les morts pour gagner des points et passer au niveau de conscience supérieur.

Clarisse sous la couv'

Une tendance que l’on retrouve aussi dans le festival off. Avec des spectacles de rû, à mi-chemin de l’esprit original du festival, plutôt baba cool, et du sens de la mise en scène bien connu des nouveaux partenaires privilégiés. Un bel effort des festivaliers pour anticiper le jumelage de Lussas avec le bourg de Lourdes.

JC & Mado

JC, Mado et JC

Sinon, pas mal de films intéressants cette année encore.

S’il n’y en avait que trois, je dirais :
Z32, d’Avi Mograbi, c’était mon premier Mograbi, et s’il est vrai que ce n’est pas son meilleur, les précédents vont vraiment me plaire…
Deux de la Vague, par Emmanuel Laurent et Antoine de Becque, pas mal pour compléter une culture encore défaillante sur la Nouvelle Vague en général, Godard et Truffaud en particulier.
The Perfect Human, de Jorgen Leth. Avec l’espèce de suite complètement barrée (The five obstructions, de Jorgen Leth et Lars Von Trier), dont j’ai pu voir une bonne moitié seulement, et en deux ou trois fois, alors que la vidéothèque fermait ses portes et qu’il fallait jongler entre les derniers micro-créneaux.

Un mention spéciale pour Plug And Pray, pas si terrible que ça dans l’ensemble, même si le personnage principal est très attachant. La scène tournée en pleine prépa-Davos et dans laquelle il explique gentiment à l’inénarrable Le Meur pourquoi il devrait réfléchir avant de l’ouvrir vaut le détour à elle toute seule.

Mai 24

Ayato II, le retour.

Posted on lundi, mai 24, 2010 in Musique

Insurrection

Ayato : Insurection by Eg0cide

Cliquer ici pour en savoir plus.


Mai 8

Echappée de l’île de Pâques ?

Posted on samedi, mai 8, 2010 in Photo

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Fév 12

Children, chiiildreen !

Posted on vendredi, février 12, 2010 in Non classé

Depuis quelques temps déjà, je me demandais pourquoi tant de personnes parlaient de cette « Nuit du chasseur » comme étant « Le » film à conserver, s’il fallait n’en garder qu’un. Une bête histoire de chasse ? Un peu plus mon ami.

Bob

Cette image, déjà. Plus qu’intrigante. Une espèce de pasteur robertmitchumisé à mort, regard pétillant, sourire enjôleur, et des tatouages sur les poings auxquels on ne s’attend pas dans un film tourné en 1955.

Au lieu de vous contenter de ce que vous pourrez trouver sur le net pour vous faire une idée du film, je vous conseille plutôt de vous ruer dans la prochaine salle qui le ressortira des cartons. C’était le cas aujourd’hui au forum des images. Peter Grave, qui fait une apparition au début du film, nous a quitté depuis pour rejoindre dans l’au-delà son ami Bob, le pasteur qui fout bien les grosses glandasses.

Jan 21

Au royaume des sons tordus et autres explorations acoustiques.

Posted on jeudi, janvier 21, 2010 in Formations, Musique

DCD

Après quelques pérégrination à Orléans, voici un récit pour cassettes en acoustique. A suivre ici, ici et ici sur myspace. Vive le larsen apprivoisé ! Et merci Ayato pour l’invitation.

Dans la foulée, je raccroche les wagons sur le séminaire proposé par le père Comolli au forum des images, évoquant également la question du son. Il nous emmène à Abidjan avec Moi, un Noir de Jean Rouch pour commencer. Avant de poursuivre avec quelques extraits de Chronique d’un été, dont celui-ci :


moi, un noir – le samedi soir à treichville
envoyé par lilalili. – Court métrage, documentaire et bande annonce.

La semaine suivante, une bonne surprise encore avec Ghorba-légende, d’Amal Kateb, suivi de « Scène de chasse au sanglier« , de Claudio Pazienza. Le premier est touchant et devrait être montré, entre autres, à Eric B. du ministère des charters. Le second est très fort, tant sur la forme que sur le fond. Pazienza fait un très beau film, en s’attaquant à la mort et à la paternité, tout en gardant une certaine fraîcheur, une véritable innocence qui permet à ce film de ne pas être morbide du tout, malgré une longue séquence en présence du corps sans vie de son père, juste avant sa mise en bière. Je note qu’il faudra vraiment voir l’Esprit de bière pour compléter (filmé quelques années avant, toujours avec son père, alors qu’il était encore bien portant, rien à voir avec le funérarium). Le genre de film qui vous amène à faire des rêves étranges la nuit d’après.

La séance suivante est moins captivante, avec un film sur le Che, un journal de Bolivie intéressant mais qui aurait pu nous transporter un peu plus.

Enfin, deux, ou plutôt trois très bons films pour terminer cette série au forum des images. Disneyland mon Vieux Pays natal, d’Arnaud des Pallières, dont Daniel Deshays nous avait présenté un extrait à Orléans. Un des films documentaires les plus prenants qui soit. Comolli nous dit qu’il redonne à l’enfance la part sombre inhérente aux contes, parfois même dans ceux présentés par Disney sur grand écran, mais volontairement tue dans le parc d’attraction. Et l’on aurait plutôt tendance à lui donner raison. Les images sont là, mais la bande son est complètement décalée, retravaillée, enrichie de références littéraires à Rudyard Kipling (une troublante histoire de cancer), à Walter Benjamin, ou encore au conte du joueur de flûte d’Hamelin.

Un dernier film, à double tranchant, dans cette série plutôt heureuse : une sale histoire, de Jean Eustache. Il y est question de voyeurisme. Un film documentaire d’une vingtaine de minutes où Jean-Noël Picq, qui a vécu cette histoire, la raconte dans un salon. Suivi d’une fiction de la même durée, dans laquelle Michael Londsale ré-interprète brillamment ce récit. Une histoire d’autant plus troublante qu’elle nous est racontée deux fois de suite à la première personne sans que l’on puisse douter un seul instant de sa véracité. Trop de détails plus ou moins sordides racontés d’un ton détaché malgré tout. L’ensemble est visible dans son intégralité sur le net en cherchant un tout petit peu.

Jan 10

2010

Posted on dimanche, janvier 10, 2010 in Photo

Bonne année 2010