Bruxelles Ix Ixelles
(où l’on voit Spielberg sortir de l’oreille cassée du fameux reporter..).
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Festival Filmer à tout prix avec le P’tit Ciné et le RED notamment..
Très touché par Diane Wellington, le film d’Arnaud des Pallières (qui avait en partie motivé ce détour).
Ariane Beauvillard en parle ici, mieux que je ne le ferai.
On pouvait aussi croiser à cette séance l’antique cousine de Lou Reed racontant son siècle marqué par l’émigration, la barbarie et le militantisme (Red Shirley), ainsi qu’Irma, une étonnante catcheuse à la retraite, dotée d’une voix de rossignol.
SWOTS
Sound Tracks :
Dear Swots,
As I was writing down the notes taken there, I looked back on some other ones, taken two years and a half ago. I had presented my project about wwoofing at the regional session of Eurodoc. Some people told me I should have a look on what a young militant was doing : a big film without any money from any channel or any commission. With new ways to finance it… they couldn’t find the name, I should have dig it a little bit, but it’s always the same, after a few days, it’s gone in the limbos..
Out of this little reference, I had almost never heard about « The Age of Stupid » before to come to this training session in London. I had vaguely heard about this famous actor giving a hand to a « small » team of documentary film makers to improve their project, but that was all. By chance, my friend Nils Aguilar had been more vigilant. He could not come himself, lack of time, but he pushed me to do it. And I don’t regret it at all, even if it was a little bit hard at some moments, with very very few hours of sleep before..
Lussas XI
Une fois encore, l’ombre de Ratzinger a plané sur l’irréductible village ardéchois. L’accord dont nous parlions dans nos colonnes l’an dernier n’a malheureusement pas été reconduit, Benoît préférant aller faire le mariole en Espagne…
Mais les festivaliers n’ont pas été rancuniers, comme le prouvent ces clichés pris juste avant l’orage qui a tout dévasté malgré le saint patronage de Notre Dame de Lussas…
En dehors des potins habituels, deux films au moins à citer cette année :
– An Angel in Doel, très beau film de Tom Fassaert, s’attachant au destin de quelques uns des derniers habitants de Doel, une petite ville menacée de démolition par les projets d’agrandissement du port d’Anvers… quelques images à voir ici. On pourrait croire que le film est parfait pour une petite dépression alors qu’il est plutôt revigorant malgré tout.. politesse du désespoir, comme disait Bison Ravi..
– L’été de Giacomo. Il vient de retrouver l’usage de l’ouïe, à 18 ans, grâce à une opération de la cochlée. On gardera surtout le souvenir de petits bouts d’été adolescents restitués avec beaucoup de grâce et de talent par Alessandro Comodin. Léopard d’or dans la catégorie « Cinéaste du présent » à Locarno. Bravo à Paolo aussi..